CLASSROOM Y2 V7 : BONUS

Histoires courtes vol.7

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Traduction : Raitei

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Envie naissante (Hiyori)

Tout le monde faisait de son mieux pour que notre kimono café fonctionne bien. Ryuuen-kun avait prévenu que ceux qui tenteraient de ne pas participer seraient sanctionnés, ce qui semblait avoir eu son effet. En tant que chargée des comptes, je n’avais pas grand-chose à faire alors comme à mon habitude, j’avais un livre sur moi emprunté à la bibliothèque.

Un certain élève entra dans la salle de classe d’un pas léger et décontracté. C’était Ayanokôji-kun, le petit ami de Karuizawa Kei-san. Je voulais me cacher d’une manière ou d’une autre mais la seule chose que je pus faire était de me placer derrière mon livre. J’aurais dû me douter que la curiosité allait me gagner alors je jetai un rapide coup d’œil. On aurait dit qu’il avait été témoin de quelque chose d’inhabituel et il se dirigea vers moi.

Moi — … Salut.

Je ne pouvais pas l’ignorer alors je le saluai. Je n’étais pas très naturelle.

Ayanokôji — Ça fait un petit moment. J’ai cru comprendre que tu ne venais plus à la bibliothèque ces derniers temps.

Moi — Disons que je ne viens plus vraiment aux mêmes heures.

C’était le seul moyen de l’éviter, lui qui aimait aussi la lecture. Je ne voulais pas rendre sa petite amie jalouse ou qu’il y ait des malentendus.

Ayanokôji — Je suppose que tu vas t’occuper de la caisse.

Moi — La comptabilité me convient. Je ne suis ni douée pour interagir avec les autres ni assez entrainée pour servir les plats comme il faut à cause de ma maladresse. 

Pour être honnête, j’aurais aimé avoir une fonction plus importante.

Moi — Au fait, Ibuki-san participe également.

Ayanokôji — Ibuki ? Je ne l’imaginais pas accepter ce genre de tenue.

Moi — Elle a fait un pari avec Ryuuen-kun. Si elle gagnait, elle était libre de faire ce qu’elle voulait lors du festival.

Ayanokôji — J’imagine qu’elle a perdu.

Ibuki était d’ailleurs plutôt mignonne quand elle avait tapoté des pieds de frustration lors de sa défaite.

C’était en tout cas vraiment amusant de parler avec Ayanokôji-kun comme ça aujourd’hui. Je voulais clairement le rencontrer à nouveau mais cette fois, à la bibliothèque.

Cette envie venait de naître en moi

Ça ira, n’est-ce pas ?

Moi — La prochaine fois, je serai à la bibliothèque, Ayanokôji-kun.

Elle ne devrait pas se mettre en colère contre moi si nous nous voyions seulement en tant qu’amis, non ?  Enfin, normalement…

La voie de la survie (Kushida)

Cela faisait dix minutes que l’inquiétude avait gagné les maids par rapport à la file d’attente. C’était bien entendu dû à la quantité folle de clients qui faisaient la queue. J’avais un peu de temps libre alors je suis sortie pour vérifier la situation. Avoir une file d’attente était bien positif mais Ayanokôji-kun n’avait pas l’air d’avoir le sourire en observant la foule.

Ayanokôji — Ce n’est pas bon. Certains commencent à partir.

C’est vrai. Même si nous avions beaucoup de monde, nous ne pouvions pas tous les servir. Les gens en tête de file avaient au moins attendu une demi-heure et c’était une question de temps avant que cela se retourne contre nous. Les filles à l’intérieur l’avaient bien compris. Je devais agir même si faire disparaitre ma mauvaise réputation allait être difficile. Je n’avais d’autre choix que de relever le défi.

Moi — Ayanokôji-kun, je peux être dispensée de service en salle ?

Ayanokôji — Qu’est-ce que tu vas faire ?

Moi — Les clients qui attendent s’ennuient, mais ils montrent aussi un grand intérêt pour le Maid Café. Leur faim doit les faire partir.

Ayanokôji — C’est vrai.

La méthode la plus rapide pour les garder ici était de présenter des échantillons de nourriture. Je comptais afficher mon meilleur sourire afin de les apaiser et les forcer à rester plus longtemps. Il fallait frapper fort et c’est ainsi que j’attrapai un petit sac avec des biscuits dans le coin des souvenirs et me dirigeai vers les personnes en tête de file.

Moi — Désolée de vous avoir fait attendre.

Je présentai des biscuits à chaque client en m’inclinant et répétai cela jusqu’à la fin de la file.  Tout ce que j’avais à faire maintenant était de surveiller. Si quelqu’un tentait de partir, j’utilisais des regards et des gestes pour lui faire comprendre qu’il devait rester. Je pouvais ainsi contribuer à la classe tout en faisant en sorte que mes camarades se sentent redevables envers moi. C’était comme si je faisais d’une pierre deux coups. En utilisant mes points forts, j’établissais une stratégie qui soulignait mon importance au sein de la classe. Il n’y avait que comme ça que je pouvais éviter une future expulsion.

Le rêve que j’oublierai après mon réveil (Horikita)

J’étais en train de rêver. C’était un étrange et petit rêve où mon grand frère, Ayanokôji-kun et moi étions dans la même classe avec l’envie d’atteindre la A. Nous riions et mangions ensemble et surmontions comme il fallait chaque examen spécial. C’était un rêve tellement déconnecté de la réalité que j’étais sûre que j’allais l’oublier à mon réveil.

Il était vraiment réconfortant alors j’aurais aimé pouvoir continuer ce rêve pour toujours. Mon grand-frère dirigeait notre classe avec brio pendant que je me tenais à ses côtés en soutien. Ayanokôji-kun avait l’air de ne pas trop s’impliquer mais il nous soutenait tous les deux dans l’ombre.

Avant que je ne le réalise, plusieurs camarades avaient commencé à apparaître. Sudou-kun, Hirata-kun, Kushida-san. Depuis un moment, chacun de mes camarades de classe était devenu important pour moi alors j’avais honte de me souvenir que je les considérais comme des obstacles auparavant.

Yamada-kun, Ishizaki-kun et Ichinose-san étaient en quelque sorte aussi dans notre classe…Mais je n’avais aucun contrôle, cela restait un rêve après tout.

Moi — Mmm…

Je voulais continuer à rêver, mais un vent froid lointain tenta de m’y faire sortir.

Moi — Tu ne dois pas…

Encore un peu… Je voulais juste rester dans ce rêve encore un peu plus. Puis, comme si mon souhait fut exaucé, le froid qui se frottait à ma peau se retira. Même dans mon rêve, cette volonté d’aller en classe A était toujours présente. Ayanokôji-kun, mon grand-frère, mes camarades et moi… Pour empêcher qu’une autre tragédie comme celle de Sakura-san ne se reproduise, il fallait aller de l’avant.

À mon réveil, je ferai une nouvelle avancée décisive. C’était la seule chose que je pouvais faire après tout.

Moi — …Oh non, je me suis assoupie.

J’oubliai le rêve et tira la chaise en arrière en me levant.

Moi — Je n’avais pas laissé la fenêtre ouverte ? C’était peut-être mon imagination.

Le soleil allait bientôt se coucher. Je me disais en sortant de la salle de classe que c’était peut-être le bon moment pour dormir un peu plus tôt que d’habitude aujourd’hui.

Une expérience que je veux oublier (Chabashira)

Je me contemplais dans le miroir à l’intérieur du vestiaire tout en laissant échapper un soupir qui, sans exagérer, devait être le plus long de toute ma vie.

Moi — Je vais ressembler à ça devant les gens ? Vraiment… ?

Je me regardais dans le miroir, atterrée par mon apparence qui ne me correspondait pas du tout. En tant que professeur, je n’avais porté jusque-là que des tailleurs, ou des pulls jusqu’à présent. Et maintenant, soudainement, un uniforme de maid ?

Moi — Ce n’est pas bon… j’ai le vertige.

J’avais l’impression que j’allais m’évanouir rien qu’en imaginant le sort qui m’attendait. Je devrais faire semblant d’être malade… non, mon adversaire était Ayanokôji. Cela n’allait pas être aussi simple. Je ne pouvais pas les aider durant ce festival car j’étais leur professeur principal mais tout comme les ecclésiastiques fidèles à leur devoir moral, il fallait que je sois à l’écoute de mes élèves. Et puis Ayanokôji avait déjà payé la somme requise en points privés.

Moi — Je dois juste le faire.

Je pris mon courage à deux mains afin d’être digne de mon rôle de professeur et quittai le vestiaire, gonflée à bloc. Je me ruai ainsi jusqu’au RDC du bâtiment spécial. Je voulais vraiment courir mais en tant que professeur, il fallait être un exemple pour les élèves alors je me contentai de marcher pour respecter le fait qu’il ne fallait pas courir dans les couloirs. Je me rendis compte que les élèves et les visiteurs me dévisageaient tous pendant le trajet.

— Que fait-elle à cet âge ?

— Cette personne, hein ? Attends un peu…

Moi — Je n’entends rien.

Je continuais à faire semblant de ne rien entendre alors que les mots résonnaient dans ma tête.

Moi — S’il vous plaît, n’importe qui ! Tuez-moi !

J’arrivai à vive allure devant le maid café. Le chemin m’avait paru cinq fois plus long que dans mes souvenirs.

Moi — Je suis là Ayanokôji ! Fais-moi entrer vite !

La queue à l’extérieur du café était assez longue, ce qui aurait dû être une bonne chose. Mais pour moi, c’était juste infernal.

Ayanokôji — Vous vous êtes fait désirer.

Ayanokôji m’accueillit à l’entrée et me laissa entrer.

Moi — Alors, qu’est-ce que je suis censée faire ?

Ayanokôji — Rien de spécial. Rester sur place suffira.

Moi — Quoi ?

Ayanokôji — Je vous avais dit que je n’avais pas besoin de compétences particulières. J’ai hâte de travailler avec vous.

Il dit cela et partit dans le couloir en me laissant derrière.

Est-ce que je vais… juste… rester là en silence ?

Je jetai un coup d’œil dans la salle, effrayée, tout en observant comment tous les élèves et les visiteurs me regardaient sans réserve.

Aaahh… il faut que j’arrête de réfléchir ! Par pitié, laissez-moi juste ramper dans un trou, n’importe lequel !


Dans les coulisses

Voici une autre petite histoire qui fait partie des coulisses du festival culturel. Cela s’était déroulé après la fin des cours, le jour où notre classe avait décidé de faire du maid café notre événement principal.

Karuizawa — Tu sais, pour le festival. Je voulais vraiment essayer de proposer un truc.

Moi — Oh ? Pourquoi n’as-tu rien suggéré alors ?

D’après Horikita, toute personne suggérant un événement qui serait approuvé allait recevoir une récompense. Kei voulait plus de points privés alors essayer de suggérer quelque chose ne semblait pas être une mauvaise idée en soi.

Karuizawa — Je sais, mais…

Même si elle voulait faire quelque chose, elle ne montrait clairement aucun signe de motivation. Pourquoi ne répondait-elle pas ? Devais-je attendre ?

Karuizawa — C’est tellement embarrassant !

Moi — Ah bon ?

Karuizawa — Ah, euh, enfin, pas ça !

Elle se rappelait sûrement de quelque chose et agita ses deux mains, gênée.

Karuizawa — C’est un peu gamin quoi…

Moi — Tu ne penses pas que le festival culturel est l’occasion pour ça ?

On ne savait pas encore ce que la grande majorité des classes allaient faire, mais la terminale A allait présenter un labyrinthe hanté. Faire quelque chose d’enfantin n’était pas un souci.

Moi — Tout est possible si c’est rentable.

Un événement où l’on pouvait gagner beaucoup en dépensant le moins possible était ce que recherchait toutes les classes.

Karuizawa — O…ouais…

Moi — Du coup, n’hésite pas à le dire.

Puisque nous étions seuls, elle pouvait me le dire, peu importe le temps que ça allait lui prendre.

Karuizawa — Kiyotaka, tu aimes les livres, non ?

C’était soudain et probablement sans rapport avec le sujet.

Moi — Hmm ? C’est le cas, oui.

Depuis petit, je n’ai jamais détesté lire. Bien qu’il y eût des moments où nous n’étions pas autorisés à discuter, la lecture était toujours permise.

Karuizawa — Tu aimes les contes merveilleux ?

Moi — Les contes merveilleux ?

J’aimais les livres mais cette question était inattendue de sa part.

Moi — J’en ai lu un peu.

Karuizawa — Ah, j’imagine que t’as aussi des goûts classiques, Kiyotaka

Kei eut l’air surprise.

Moi — Tu me prends pour qui au juste ?

Karuizawa — Déjà tu ne souris jamais et lire des contes de fée ne correspond pas du tout à ton image.

Moi — C’est pas très cool.

Karuizawa — T’as lu quoi ?

Moi — Ça a un rapport avec l’évènement du festival que tu voulais faire ?

Karuizawa — Allez, réponds simplement.

Elle était vraiment plus intéressée par mes lectures que son évènement.

Moi — Voyons voir…

Ça faisait surtout partie de mes lectures de jeunesse.

Moi — Pour commencer, la classe volante[2].

Karuizawa — ….. Quoi ?

Moi — Le Jardin secret[3] et le prince heureux[4] aussi.

Karuizawa — ………

Kei devint silencieuse.

Moi — Qu’est-ce qu’il y a ?

Karuizawa — Uhm…. tu sais…

Encore un étrange silence.

Karuizawa — Eh ?

Avais-je dit quelque chose de bizarre ? Chacun de ces livres était clairement classé dans la catégorie des contes merveilleux.

Karuizawa — On parlait bien des contes merveilleux, non ?

Moi — En effet. C’est aussi considéré comme de la littérature jeunesse.

Je ne comprenais pas pourquoi elle était aussi perplexe.

Karuizawa — Ta réponse est tellement éloignée de ce que j’attendais.

Moi — Tu t’attendais à quoi comme réponse ?

Karuizawa — Genre normalement on parle plus des Trois Petits Cochons ou du Petit Chaperon Rouge quoi.

Je comprenais mieux. J’en avais bien entendu parler.

Moi — Je n’ai jamais lu ces histoires.

Karuizawa — Ehhhh !?

Moi — Il y a de quoi être surpris ?

J’avais l’impression qu’elle se moquait de moi.

Karuizawa — Ça c’est le Kiyotaka que je connais.

Moi — Bon, revenons-en au sujet. Ton évènement est lié aux contes ?

Karuizawa — Alors… je voulais faire une pièce de théâtre.

Moi — Une pièce de théâtre ? Pourquoi pas en vrai.

Karuizawa — Vraiment ?

Moi — Bon, il ne nous reste pas beaucoup de temps pour répéter donc à voir. Mais en soi, ce n’est clairement pas une mauvaise idée.

Pour que Kei fasse une représentation théâtrale au festival, ça valait le détour.

Moi — Tu avais un conte merveilleux en tête à mettre en scène ?

J’étais un peu intéressé par l’histoire qu’elle avait choisie.

Karuizawa — Je reste une fille quand même alors je dirais Cendrillon ou la Belle et la Bête ?

Effectivement, c’était le genre d’histoire que les filles appréciaient.

Karuizawa — Mais…

Elle fit une pause.

Karuizawa — La pièce que j’aimerais vraiment faire ce serait La Belle au bois dormant.

Moi — La Belle au bois dormant… ?

Ce titre me disait quelque chose mais je ne l’avais pas lu.

Moi — Ça parle de quoi ?

Karuizawa — Eh ? Tu ne connais pas ? T’es pas censé aimer les livres ?

Moi — Désolé pour ça.

J’étais un peu blessé dans mon amour propre. Après avoir écouté son résumé maladroit, j’avais à peu près cerné l’histoire. Une princesse maudite par une sorcière qui fut plongée dans un sommeil éternel. Il a fallu attendre l’arrivée d’un prince pour qu’il l’embrasse et la réveille. Et ils vécurent heureux pour toujours. Effectivement, cela ressemblait au cliché du conte de fée.

Karuizawa — Quand j’étais petite, je n’aimais pas vraiment cette histoire. Mais, d’une certaine manière, elle me ressemble. Mon cœur était toujours endormi et c’est alors que tu es venu pour le réveiller.

Elle fut comme envoutée par ses délires.

Karuizawa — Je jouerai la princesse et toi le prince. Tu ne penses pas pas que ce serait fantastique ?

Moi — … Je vois.

Je comprenais mieux maintenant en l’entendant.

Moi — Ce n’est pas mal mais vu le casting, nos camarades vont se moquer de nous. Non, pire… Ils vont plutôt nous caillasser.

Karuizawa — Je… je sais déjà tout ça. C’est pour ça que je n’ai rien dit.

J’étais vraiment soulagé qu’elle ait pu se contrôler. Elle avait une bonne façon d’approcher le festival culturel. Dommage qu’elle se fût emportée par ses fantasmes.

Karuizawa — On dirait que mon prince est un peu taquin.

J’avoue que c’était troublant de recevoir une remarque de ce genre.

Karuizawa — Si je m’endors encore, assure-toi de me réveiller avec un baiser, ok ?

Moi — Un seul suffira ?

Karuizawa — Hmm ? Je ne sais pas. Il y en aura peut-être besoin d’une dizaine. Une centaine même !

Dit-elle en montrant sa volonté d’en recevoir. J’exauçai son souhait et elle esquissa un petit sourire.

Karuizawa — En tout cas, j’ai tiré un trait avec les contes de fée.

Moi — Pourquoi ça ?

Karuizawa — La réalité me convient très bien.

Elle s’appuya joyeusement contre moi et ferma les yeux comme pour s’endormir.

Mots de l’auteur

2023 approche. Le temps passe trop vite ! C’est moi, Kinugasa.

Depuis peu, c’est ma came de manger du gingembre et je fais clairement des achats en kilos régulièrement. Je le râpe de manière répétée jusqu’à finir par le manger avec de la viande et des légumes.

J’aime particulièrement la combinaison gingembre, champignons eryngii et sauce au citron. Ehehehehe, je parle un peu de ma vie privée alors que tout le monde s’en fout. C’est vrai que, bon, je n’étais vraiment pas inspiré pour écrire alors passons tout de suite à ce qui vous intéresse.

Ce volume portait principalement sur le festival culturel. Je sais que beaucoup d’entre vous auriez aimé voir d’autres élèves en cosplay mais comprenez que ce n’est que partie remise. Le deuxième trimestre est bientôt terminé et c’est le moment des vacances d’hiver qui fera office d’introduction au troisième trimestre tumulteux.

Le nombre de volumes est un peu plus élevé que prévu initialement mais Y2 a tout de même passé un cap. Nous approchons de la fin de l’histoire petit à petit. Est-ce que Ayanokôji aura son diplôme paisiblement ? Quel sera le classement final de chaque classe ? Je pense que vous aurez doucement un aperçu de la situation alors ayez hâte !

La deuxième saison de l’anime commencera d’ailleurs en juillet ! On attendait ça depuis longtemps ! J’ai tellement attendu longtemps que je me demandais combien de temps j’allais attendre encore. J’ai hâte de revoir Ayanokôji et les autres en action après toutes ces années. Il y a aussi une saison 3 de prévue alors je peux vous dire que je suis ému. Que vous aimiez ou non Classroom of the Elite (YouZitsu), j’espère que tout le monde regardera. Moi, personnellement, j’attendais cette nouvelle saison plus que quiconque.

D’ailleurs, voilà une annonce exceptionnelle et bien sérieuse. Veuillez lire attentivement.

La deuxième saison animée va bientôt commencer et j’ai écrit un volume spécial, le volume 0, qui sortira en bonus avec le BD/BR de la S2. C’était vraiment difficile d’en venir à bout car on rentre dans le passé d’Ayanokôji. J’avais eu également la coopération totale de l’illustrateur, Tomose-sensei alors le volume aura un nombre d’illustrations et de pages identiques à celles d’un volume normal.

C’est tout ce que j’avais à dire alors je vous laisse avec cette postface.

J’espère vous revoir encore cette année.


[1] Ce bonus de Chabashira existe mais aucune traduction n’est disponible pour le moment. Du coup on s’est permis d’inventer =). Lorsqu’une traduction sera dispo, on remplacera bien entendu cette page.

[2] La classe volante est un roman jeunesse allemand d’Erich Kästner, 1933

[3] Le Jardin secret est un roman jeunesse de l’anglo-américaine, Frances Hodgson Burnett, 1911

[4] Le prince heureux est une nouvelle irlandaise d’Oscar Wilde, 1888

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